@ Brigitte : Les indices viendront petit à petit...mais tous les éléments sont presques déjà là...la suite ce week-end :-). En tout cas tu relève une chose terriblement vrai, peu importe l'époque, les personnages et leurs histoires se ressemblent toujours.
Des 3 textes déjà en ligne, c'est vraiment celui qui me touche le plus. Ce qui, à mon sens, en fait la richesse, c'est son aspect intemporel : évocation de l'Antiquité, oui ; évocation du Moyen Age,incontestablement aussi. Mais on peut avoir une lecture au 2d degré qui ferait de Sibell une contemporaine, si on ne donne pas aux mots "sacrifice" et "mort" leurs sens premiers.Et dans ce cas aussi l'issue reste la même : les rêves s'arrêtent ... Quant à l'atmosphère musicale, elle est plutôt moderne, non ? Post-moyenageuse en tous cas ! J'attends le prochain texte, prochaine pièce du puzzle qui éclairera le tableau ... mais pas trop quand même,... pour ne pas "sacrifier" le rêve ...
@ Vivien : Je ne dévoilerais pas ici le sens des mots "Désignée par son père en sacrifice", je ne le dirai peut-être pas clairement par la suite d'ailleurs, les éléments devraient s'imbriquer d'eux même. Je comprend que ceci évoque l'antiquité (surtout le terme je pense) mais les sacrifices ont été de tout temps et le terme de "bucher" que j'ai hésité à employer nous ramènerai plus au moyen age par exemple :-)
C'est quand même plus sombre qu'Heracl ! Je ne comprends pas trop si "Désignée par son père en sacrifice" c'est du sens propre ou du sens figuré. Si c'est du sens propre, ça me fait plus penser à l'Antiquité grecque qu'au Moyen-Age !